Janvier 2023

La neige, enfin tombée, les élèves de 4ème du collège ont pu réaliser leur cycle de raquettes à neige.

4 journées où les élèves découvrent la pratiquent de la raquette à neige mais également le milieu montagnard qui les entourent.

Le mercredi 7 Décembre 2022, avait lieu le championnat départemental de natation.

La piscine de Cluses a accueilli une centaine de nageurs venus de Saint Julien en Genevois, Chamonix, Ville la Grand, Seynod et de Cluses.

A l’ordre du jour :

  • 50m et 100m dans les 4 nages (papillon, dos , brasse, crawl),
  • 200m
  • relais en équipe de 4 nageurs

6 élèves de l’association sportive de l’ES2C ont représenté l’établissement.

Au lycée Axel ARESTAN et Bastian LECRAS finissent 1er et 2ème.

Coté collège, Méline GIROD se classe première et Nina DUGOIS 6ème dans la catégorie benjamine.

Lila ZEGHDALLOU prend la 8ème place en minime .

Nils PROST finit 5ème .

Collégiens et lycéens : 2nde Bac Pro MCV et particulièrement la classe de 1ère Bac Pro MRC (filière commerce au lycée professionnel) car grâce à eux, ce sont une centaine de boîtes solidaires qui seront distribuées dans les prochains jours à des personnes âgées.

Les collégiens participent à l'action "boites solidaires" 2022 à destination des personnes âgées
Les 2ndes bac pro MRC (métiers de la relation client) investis dans l'action "boîtes solidaires"

Vendredi 9 décembre 2022, les élèves germanistes des classes bilangues (6eL, 5eL, 4eL, 3eL) sont allés à Berne pour découvrir son ambiance de fêtes d’hiver. Le long trajet en bus, en raison de chutes de neige et des embouteillages, n’a pas découragé les jeunes : la joie et la bonne humeur étaient au rendez-vous toute la journée.

La vieille ville, avec ses six kilomètres d’arcades, est classée au patrimoine mondial de l’UNESCO et propose aux visiteurs en hiver trois marchés de Noël. Ses habitants accueillants ont fait découvrir aux élèves le dialecte bernois, Berndeutsch (= Bärndütsch). Hoi zäme ! (= Hallo zusammen !) était leur surprenante façon de saluer les élèves aux stands avec des spécialités bernoises ou des productions artisanales.

Journée racontée par Eugène TAVERNIER 3L

Tout d’abord, le bus s’est arrêté à Bern la capitale de la suisse allemande. Nous étions à l’emplacement du parc des ours de Bern qui étaient en pleine période d’hibernation. Ensuite, nous sommes partis tous ensemble vers la vieille ville en empruntant le pont surplombant l’Aar surnommée la rivière la plus cool du monde. La neige qui tombait rendait le paysage encore plus féerique. Puis, nous nous sommes arrêtés sous une rue à arcades pour composer des petits groupes. J’étais moi-même dans un groupe de quatre personnes composé d’Hamza 6L, Titouan 6L, Gustave 6L et moi-même en 3L. Pour débuter notre découverte de la ville, ne sachant trop ou aller pour trouver les marchés de noël nous décidâmes alors de suivre la rue jusqu’à son embouchure. Sur le chemin, toutes sortes de choses étaient ici ; des maisons colorées, des boutiques souvenirs dans tous les sens, des bancs sculptés, des caves creusées dans la pierre et même une Porsche que nous avions aperçu au même moment. Au bout d’un petit moment, la vue d’une boutique empara la curiosité de Titouan et d’Hamza. Ils voulaient entrer dans une boutique au coin de la rue qui s’appelait « belle maison » On avait à peine traversé la rue que ces deux-là s’étaient déjà rués à l’intérieur. Il y avait de beaux petits gadgets mais la vue des prix ne m’avait pas tellement encouragé à acheter quelque chose. Il y avait par exemple un petit couteau suisse à 9.90 francs suisses ou encore un mug à 11 francs ! Cependant, ça n’avait pas découragé pour autant les deux curieux qui avaient déjà payé. Après, nous avons un peu erré dans la ville jusqu’à que nous trouvions Lya dans ma classe, son frère Elio et deux autres 5L. La différence entre nos deux groupes était qu’eux avaient déjà trouver un marché de noël sur les trois qui se situaient à Bern. A notre grand soulagement ce marché était très petit et ils ne vendaient que du verre et de l’alcool. Nous nous mîmes alors à huit à la recherche du second marché de noël qui se situait d’après ce que nous avaient dit deux passantes pas très loin d’ici. Nous finîmes par le trouver et rien que son nom donnait envie. Il s’appelait Weihnachtsmarkt. Il était immense et rempli de bijoux, de pendentifs, de bracelets, de colliers, de sculptures, d’huiles essentielles qui parfumaient le marché, de nourriture et plein d’autres choses encore. J’étais d’ailleurs venu pour m’acheter des spécialités culinaires de la région. On nous avait offert des petits gâteaux ressemblant à des pains d’épices fourrés avec je ne sais plus quelle merveille. J’avais également acheté un gâteau avec du pain d’épice, de l’amande et d’autres ingrédients que je ne me souviens plus. D’ailleurs, plus tard, je le dégustai dans le bus au retour du voyage et il était succulent. Nous restâmes au marché environ une demie heure le temps que tout le groupe achète ce qui lui plaisait. Ensuite, nous partîmes à la recherche du dernier marché de noël qui était assez loin du point de départ. Sur le chemin, il y avait plein de monuments ; des cathédrales, des églises et même une fédération. Tout était sublime. Après une petite pause visionnage de carte avec le groupe, nous finîmes par le trouver. Il était encore plus gros que le précédent ; d’immenses sapins de noël ornés de grandes boules rouges, des guirlandes à perte de vue et des stands décorés comme il fallait. Tout ce qu’il fallait pour se plonger un maximum dans l’ambiance de noël. Au début, nous voulions acheter des boissons chaudes mais les stands ne vendaient que de la bière à notre grand regret. Nous décidions alors de faire les stands. 2 minutes plus tard, ce fut le coup de foudre ; nous trouvâmes des macarons et des sucres d’orge. On décida alors d’acheter pour ceux qui voulaient des macarons et pour les autres des sucres d’orge. Moi, et deux autres camarades décidâmes de s’orienter vers ces petits gâteaux colorés. On en prit trois chacun pour un total de 20 francs suisses. Ça valait le coup car ils étaient délicieux. Après notre pause dégustation, il était désormais 15h10, il fallait retourner à la tanière des ours pour être présent au point de rendez-vous à 16h étant donné la grande distance qui nous séparait du bus. On prit alors la route et surprise on tomba sur un groupe qui s’était perdu et qui décida ensuite de nous suivre afin d’arriver à bon port. On arriva 15 minutes en avance et décidâmes de faire une photo à côté d’Einstein qui était posé sur un banc à proximité du lieu de rendez-vous. Puis le chauffeur de bus nous fit signe de venir et les autres groupes arrivèrent également. Il était l’heure de partir !
A bientôt Bern !!!

Dans le cadre de l’étude du fantastique en français, les élèves ont réalisé un podcast sur un phénomène paranormal.

Ils ont étudié plusieurs nouvelles fantastiques ainsi que Dracula de Bram STOCKER. Ils ont également travaillé sur l’émission Affaires sensibles – Le fantôme du château de Veauce (France INTER)

En éducation musicale, ils ont étudié plusieurs oeuvres en lien avec le thème mais aussi appris à maitriser le logiciel de montage Audacity.

Après plusieurs séances en salle informatique et aussi des recherches personnelles, ils ont réalisé leur propre podcast. Ce dernier se clôture avec la mise en voix d’un texte fantastique.

PODCAST N°1

PODCAST N°2

La pièce de théâtre « le point de bascule » est produit par la Cie du Gravillon. Celle-ci s’est engagée de nouveau avec une équipe de chercheur.euses du CNRS et de l’Université Grenoble Alpes pour co-écrire une pièce scientifique sur les sciences du climat.

Les objectifs de cette pièce sont :

A travers un spectacle qui soit tout à la fois drôle, poétique et qui fasse réfléchir.
• Aborder le sujet sous l’angle des sciences dites dures : expliquer les phénomènes de l’effet de serre, de la photosynthèse, le cycle du carbone.
• Avoir une approche systémique de la crise environnementale

• Parler aux êtres sensibles que nous sommes (le changement climatique n’appartient pas aux climatologues et aux physiciens, mais à tout le monde), aborder aussi les choses d’un point de vue philosophique.

Pièce de théâtre pour les 4ème et 3ème

Début de l’histoire :

Barthélémy Champenois, éminent chercheur en méta-science a été invité à donner sa conférence Lumière !  Histoire d’une hors la loi à Boston. Il reçoit son billet d’avion, payé par la structure d’accueil, avec une note de la compagnie aérienne sur l’impact carbone de son trajet et une proposition de compenser ce bilan en plantant des arbres. Après les avoir remerciés pour la proposition, Barthélémy leur annonce qu’il va se charger lui-même de ce travail.

De retour chez lui, il calcule la quantité d’arbres nécessaires (494) et commence à les planter. Il réalise rapidement la complexité de l’affaire : manque de place ; les arbres sont livrés donc arrivent chez lui avec un bilan carbone à compenser, … Il commence alors à calculer l’impact carbone de tous ses actes et s’intéresse aux ressources qu’il contribue à épuiser par sa consommation quotidienne.

Cette opération “savoir secourir” est initiée et largement soutenue par le Département, pour permettre aux jeunes collégiens d’être le premier maillon de la chaine de survie et ainsi les sensibiliser à leurs devoirs civiques.

Opération pilotée par le Service Départemental d’Incendie et de Secours (SDIS) avec pour objectif la formation annuelle des 10 000 collégiens de 4ème, scolarisés dans 69 collèges publics et privés du département. L’UGSEL 74 est agréé pour la mise en œuvre de ces formations dans nos collèges privés.

Présence de Mme METRAL, conseillère départementale du canton de Cluses

PSC1 4e : nos élèves reçoivent leur diplôme

Lundi 23 mai 2022
Quelques élèves de 4L sont intervenus en 6S afin de leur présenter un cours sur les classes grammaticales et les fonctions.
Ils ont ensuite participé à des jeux de société autour de la langue française, toujours encadrés par les 4L.
Merci à Louise GRAND, Léa MORFOISSE et Raphaël PAPES

En Arts Plastiques, les 4° se sont initié.es à la gravure : les élèves se sont servis de surfaces métallisées, type boite de lait, comme matrices et ont utilisé des “Machines à pâtes” comme autant de presses de poche très efficaces !

Les élèves ont pu ensuite, en histoire de l’art, repérer des artistes emblématiques de cet art de “l’image multiple”.

Ensuite en effectuant des recherches personnelles sur des graveurs.euses de notre temps, ils et elles ont pu se confronter à la richesse et la diversité des créations contemporaines dans ce domaine.